Archives mensuelles : juillet 2016

Les VW au Mans

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On ne pouvait pas sous silence le festival du prochain weekend sur le circuit du Mans. En effet, c’est sur le circuit sarthois que se déroulera la 3ème édition du « SUPER VW FEST » qui réunira tout ce que la galaxie VW compte d’anciennes voitures, et notamment les antiques « Cox » que l’on connait bien chez formulaconcept.com.

D’ailleurs, notre partenaire Autonewsinfo n’a pas manqué de se faire l’écho de cette manifestation, qui réunit chaque année de plus en plus de spectateurs……..

http://www.autonewsinfo.com/2016/07/22/le-super-vw-fest-cest-dans-une-semaine-au-mans-200216.html

Article : FC

Ca s’est passé à Spa !

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Une course aussi longue que les 25 heures de Spa regorge à coup sur d’anecdotes, à chaque édition. Cette 19ème édition n’a pas échappé à la règle.

Quelques histoires de stands……!

La 160 s’en sort bien !

La voiture n°2 suivait la 160, alors pilotée par Pascal ROUX. Elle n’était pas à portée de freinage immédiat, comme on dit. Néanmoins, le pilote à son bord est arrivé trois fois de suite en vrac au freinage. « On voyait les pneus fumer dans les rétroviseurs, raconte Pascal ROUX, et de poursuivre j’ai préféré lever le pied et la laisser passer. On était en début de course et je ne voulais pas hypothéquer le reste de l’épreuve ».  Un demi tour plus tard, la direction de course lançait une procédure de « full course yellow », à cause d’une sortie de piste d’une voiture. C’étais la n°….2, qui s’était sortie en haut du raidillon. Un peu plus et la 160 partait au tapis avec elle.

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La « 2 » n’est pas loin ! – 25 heures de Spa 2016

La 160 s’en sort bien, le retour !

Vous l’avez probablement lu, par ailleurs, la course a été interrompu au cours de la nuit, à cause d’un accident mettant en jeu plusieurs voitures. La 160 y était. A ce moment de l’épreuve, c’est Cyril PINAUD qui était au volant de la voiture. « j’étais derrière un groupe de voitures qui se tirait la bourre, et d’un coup raconte Cyril, deux d’entre elles sont parties en « live » dans le double gauche, j’ai juste eu le temps de freiner et de braquer pour les éviter. C’est passé près. Et de poursuivre, l’une d’elle s’est retrouvée en sens inverse de la piste ». Surtout que dans le tour d’après, Cyril qui avait échappé à l’accident de peu, retrouva 6 autres voitures pris dans le carambolage, n’ayant pu éviter la voiture en sens inverse sur la piste. Procédure de « full course yellow » et retour aux stands pour la 160 qui repartira avec Didier, qui…..attendra une heure à la pompe à essence que la piste soit dégagée et la course relancée.

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La 160 ira au bout de la course, malgré quelques frayeurs – 25 heures de Spa 2016

La 82…..à répétition !

Dans le team Zosh Compétition, la voiture n°82 a défrayé la chronique. A Spa, lors du weekend des 25 heures, il n’y a pas que de la Fun Cup. Des courses « d’ouverture » sont programmées. Championnat d’Angleterre de Formule 3, championnat des voitures GT, et trophée Ginetta.

Justement, la course du trophée Ginetta était programmée juste avant le départ des 25 heures de Fun Cup. Pour gagner du temps (en fait en rattraper puisque le programme avait pris du retard tout au long de la journée), on a demandé aux pilotes de Fun Cup de bien vouloir se positionner dans la ligne des stands pour qu’une fois la course de Ginetta terminée, on lance le tour de mise en grille des Fun Cup. Or, à Spa, il y a deux zones de stands. Les stands « F1 » et les stands « Endurance ». Ces deux zones sont reliées par une ligne droite parallèle à la piste de course, sur laquelle était installée des plots orange et blanc pour empêcher les concurrents d’accéder à la piste. Le pilote alors à bord de la 82 ne l’a pas entendu de la sorte, et a pris la piste comme si de rien n’était. sauf qu’à quelques encablures derrière, arrivait le peloton des Ginetta en bagarre pour la victoire en course. Plus de peur que de mal, la Fun Cup 82 fut arrêtée à temps. Mais imaginez les pilotes des Ginetta voyant devant eux (alors qu’ils formaient la tête de la course) une Fun Cup bien moins rapide…..La 82 fut sanctionnée et dut partir – pour la course – de la dernière position sur la grille.

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La 82 en « chasse » dans le raidillon – 25 heures de Spa 2016

Une seconde anecdote pour la 82. 7 pilotes – salariés de la société DI Environnement – se partageaient le volant de la voiture. L’un des pilotes a pris son premier relais en début de nuit, après que ses coéquipiers aient roulés depuis le début de course. A peine lancée sur la piste, que la voiture allait tutoyer le mur opposé à la sortie des stands, au début de la ligne droite. Résultat, un retour sur un camion plateau et 2 heures de mécanique et de carrosserie pour les mécaniciens du team Zosh Compétition. Mais, la volonté et le travail auront été déterminant pour permettre à la voiture de repartir. Le lendemain, vers 13h00, le pilote ayant eu l’accident repris le volant pour son deuxième et ultime relais. A peine lancée sur la piste, que la voiture allait tutoyer le mur opposé à la sortie des stands, au début de la ligne droite….Non ce n’est pas une faute de frappe, mais réellement ce qui s’est passé. Deux relais, deux sorties de stands, deux accidents au même endroit pour le même pilote. La loi des séries peut être ? Toujours est il que la voiture irréparable sur place a du abandonner.

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La 82 dans la descente du raidillon….avant ses deux accidents – 25 heures de Spa 2016

L’accident de la 71

La 71 a fait un début de course de toute beauté, flirtant régulièrement dans le top 30 du classement. Malheureusement, un accident vint mettre un terme à cette belle prestation. Julie BUZEAU, seule femme pilote du team Zosh Compétition, alors au volant, suivait d’autres voitures dans le raidillon de l’eau rouge, quand la voiture juste devant elle a freiné. Une erreur à ne pas commettre. Julie n’a eu d’autre possibilité que « d’ouvrir » le volant pour éviter la voiture. Malheureusement, à cette vitesse, le moindre écart peut prendre des proportions importantes. La voiture a dévié de sa trajectoire, et a terminé la course dans le mur. « Je n’ai rien pu faire » dira Julie. A la lecture des acquis (les données de l’ordinateur de bord de la voiture), la 71 a tapé le mur à 178 km/h….Une belle frayeur. Pour l’histoire, à part quelques contusions et douleurs sans gravité, Julie n’a rien eu. la voiture elle, fut contrainte à l’abandon.

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La 71 dans le box après son accident – 25 heures de Spa 2016

Les files d’attente interminables à la pompe à bière !

Non décemment, celle-là on ne peut pas vous la raconter………….

Article : FC

Photos : FC

Les 25 heures de Spa en chiffres

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Les 25 heures de Spa, c’est une course magique. Un circuit exceptionnel. Les belges disent que c’est le plus beau circuit du monde, et quelques français présents sur le toboggan ardennais le weekend des dernières 25 heures sont du même avis, alors !

Du public, une parade de voitures anciennes de la marque…..VW, et des animations tout au long des essais et de la course. Et surtout, c’est la plus longue course du monde, avec un maximum de pilotage de nuit.

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Le public sur la grille avant la course – 25 heures de Spa 2016

Mais les 25 heures de Spa, c’est aussi quelques chiffres qui donnent le vertige. Pour cette édition 2016, on affichait complet avec 124 voitures inscrites pour la course. Il y avait tellement de voitures que les dernières qualifiées ont du prendre le départ dans la ligne droite des stands « F1 », avant le virage de la source. Pour piloter les voitures, il faut des …pilotes. Et bien, à Spa, il y en avait 550 réunis sur la piste (à tour de rôle, c’est une course d’endurance avec relais !). ces pilotes venaient de plus de 20 pays différents. On trouvait des belges, des français, des suisses, des anglais, des italiens, des polonais….et même un équipage australien.

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124 voitures inscrites – 122 au départ – 25 heures de Spa 2016

Coté logistique, les voitures auront consommés quelques 90.000 litres de carburant, uniquement pour la course. Près de 1000 pneumatiques auront été montés sur les 124 voitures présentes. Malheureusement, notre enquête ne nous aura pas permis de connaitre le nombre de litres de bières consommés par le public, les accompagnateurs et les…pilotes. Ce chiffre est gardé secret, car le dopage est interdit pendant la course.

Les chiffres du Zosh Compétition

Coté Zosh Compétition, l’écurie mancelle qui engage la 160, entre autre, la logistique est également impressionnante. 6 voitures engagées. C’est la première fois que l’écurie dirigée par Jean René DEFOURNOUX engageait autant de voitures à Spa. Qui dit voitures, dit pilotes. pas moins de 29 pilotes se partageaient les volants des voitures du team. Pour assurer le bon fonctionnement de l’ensemble, 7 mécaniciens, 4 chronométreurs ont assurés quasiment sans dormir pendant la course. Il fallait bien restaurer tout ce joli monde, et bien c’est la bagatelle de 200 repas qui auront été servis pendant la course.

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6 voitures engagées par le Zosh Compétition – 25 heures de Spa 2016

En tout cas, le dernier chiffre qui ressortait à l’issue de ce weekend , c’était encore ….1 fois l’année prochaine !

Article : FC

Photos : FC

25 heures de Spa 2016 : Une victoire !

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La 160 dans les premiers tours de la course – 25 heures de Spa 2016

Il y avait de l’émotion dimanche après midi, vers 18H00, sur le circuit belge de Spa Francorchamps, au passage de la 160 sous le drapeau à damiers, qui bouclait avec succès sa première participation aux 25 heures de Spa. Didier HOUAL exultait, alors que Charles EMME était pris d’une émotion et avait du mal à retenir quelques larmes. Une course venait de se terminer, mais un moment fort de vie était encore prégnant dans l’esprit de chacun. Il faut dire qu’avec une 38ème place au général sur 124 voitures au départ pour une première participation, le résultat était presque inespéré. Et Charles, tout particulièrement, en avait rêvé de sa participation à une course de 24 heures, alors imaginez une heure de plus !

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La première montée du raidillon. le départ vient d’être donné – 25 heures de Spa 2016

Tout avait commencé 25 heures plus tôt avec le départ de l’édition 2016 des 25 heures de Spa donné le samedi à 16H57 (au lieu des 16H50 prévus). La 160 figurait à la 75ème position sur la grille de départ. Un classement aux essais qui put être mieux, mais avec une course de 25 heures, les essais n’étaient pas les plus importants dans ce programme d’endurance. Il est bon de préciser que quelques concurrents, en mal de performance avait « déjà » détruits leur voiture, alors que la course n’avait pas encore commencé.

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La 160 sur la grille de départ – 25 heures de Spa 2016

La stratégie adoptée par l’équipage de la 160 était à l’opposé de la recherche de performance. « Ca ne sert à rien de faire une « perf » aux essais précisait Charles EMME, et d’ajouter l’important c’est la course, et elle va être longue ».

 « Il y a trois problématiques dans une telle course renchérissait Pascal ROUX. La première une erreur de pilotage, la seconde, se faire accrocher par un autre concurrent, la troisième, la fiabilité de la voiture ».

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La grille de départ, une grande fête – 25 heures de Spa 2016

On sait après l’arrivée que les pilotes ont été « prudents » pour éviter la sortie de piste et la moindre collision avec les autres voitures sur le circuit. Quand à la fiabilité, comme le dit si bien « JP » en charge de l’exploitation de la voiture sur les circuits : « Une voiture, ça se prépare à l’atelier. Après, sur la piste, c’est le boulot des pilotes ». A regarder de plus près le déroulement de la course, la préparation de la 160 était au top. « Nous nous sommes contentés de mettre de l’essence, de changer de pilotes et de renvoyer la voiture sur la piste » commente Jean René DEFOURNOUX, le boss de l’écurie Zosh Compétition.

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Un changement de pilote en course. Didier rentre par la porte droite, quand Cyril s’extirpe de la voiture par la porte gauche – 25 heures de Spa 2016

73ème sur la grille, le temps de qualification réalisé par Cyril PINAUD, de fait le plus rapide des quatre pilotes présents, lui permettait de prendre le départ de la course. un départ en course, ce n’est jamais anodin, mais avec 124 voitures sur la piste, ça relève de l’exploit. D’ailleurs, à l’issue du premier tour, en revenant dans le raidillon de l’eau rouge, plusieurs voitures faillirent se percuter, et la 160 ne passa pas loin de la correctionnelle. C’eut été dommage de perdre toute chance de bien figurer à l’issue du premier tour.

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La sortie du virage de la Source…à plusieurs – 25 heures de Spa 2016

Au départ ce la course, les pronostics allaient bon train dans le team Zosh Compétition. pour la 160, compte tenu du nombre d’engagés – rappelons le 124 voitures – de la position de la voiture sur la grille de départ (73me) et de l’inexpérience des pilotes (1ère participation pour l’ensemble de l’équipage), la première ambition était de terminer la course. Après viendrait le classement et la place au général. Tout de même, il fallait envisager une place à l’arrivée, et en fonction de tout les éléments évoqués, il fut admis qu’une place en dessous des « 50 » serait une performance.

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La 160 en action – 25 heures de Spa 2016

Les relais étaient fixés en fonction du réservoir de carburant de la voiture. Chaque relais devait donc faire environ 1H20, et permettait aux pilotes de parcourir 25 tours environ. Cela bien entendu, dans les conditions de course parfaite. Mais, chacun le sait, la course automobile n’est pas une science exacte, et il arrive parfois que des accidents plus ou moins importants, et plus ou moins graves ne viennent perturber le bon déroulement des stratégies. Alors, à ce moment là, la direction de course sort un « full course yellow » qui oblige les concurrents à rouler à 80Km/H sans se dépasser. Tout cela pour permettre aux commissaires de piste et aux voitures d’intervention de remettre un peu d’ordre sur la piste. Passer de 180 Km/H à 80Km/H permet d’économiser du carburant, et donc d’aller un peu loin avec l’essence embarquée à bord, et de ravitailler moins souvent. Dans une course d’endurance, le minimum de temps passé dans les stands, permet d’améliorer son classement. Si bien que pour la 160, 3 tours en procédure de « full course yellow » permettaient de gagner un tour dans le relais. Et des « full course yellow », il y en eut 42 tout au long de cette 19ème édition des 25 heures de Spa. De quoi avoir une stratégie fluctuante et évolutive presque à chaque relais.

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La 160 à la sortie de la Source – 25 heures de Spa 2016

Sérieux, appliqués et précautionneux avec la voiture, les pilotes de la 160 pointaient déjà à la 42ème position, après 6 heures de course.

La nuit allait être une autre expérience méconnue du quatuor de la 160. Sans appréhension, mais malgré tout avec réserve, les pilotes de la 160 se sont lancés dans les relais de nuit. A part, une expérience réduite aux 12 heures de Magny Cours, où les pilotes roulent moins de 2 heures la nuit, la capacité à rouler la nuit était quasi nulle pour chacun d’entre eux. Et pourtant, la voiture sortira sans encombre de ce possible piège nocturne. « C’est étonnant dit Didier HOUAL, on perd tous les repères. On n’a plus les mêmes trajectoires, on a l’impression de ne pas savoir où mettre les roues ». il faut dire que lors de cette 19ème édition des 25 heures de Spa, la nuit fut agitée. Un accident à 0H30 eut même pour conséquence une interruption de la course, pendant près d’une heure.

« J’ai vu 3 voitures s’accrocher dans le double gauche, nous relate Cyril PINAUD, alors au volant de la 160, et l’une d’elles de se retrouver à contre sens sur la piste, avec les autres voitures qui lui arrivaient de face. Puis d’ajouter, au tour suivant, au même endroit, il y avait une dizaine de voitures en « vrac », et la voiture qui était à contre sens dans le tour précédent, était disloquée. Très impressionnant ». Plus de peur que de mal. même si la voiture concernée a été entièrement détruite, et la pilote (c’était une femme) légèrement blessée.

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La 160 à l’attaque – 25 heures de Spa 2016

Cette course de nuit aura été difficile pour le classement. Si la 160, bien partie en début de course, remontait régulièrement dans le classement, il y eut une stagnation, dans la nuit et autour du petit matin, laissant les pilotes un peu perplexe sur leur chance de ramener la voiture dans leurs espérances. la suite nous apprendra que l’espoir de classer la 160 dans les 50 premiers, sera largement réussi.

Sur la fiabilité de la voiture, il y a finalement peu de chose à dire. Dans une course d’endurance, c’est un point essentiel de la préparation. a chaque instant, on s’attend à ce qu’un problème survienne, et puis les tours s’enchaînent jusqu’à la prochaine angoisse. Pour la 160, rien de tout cela. La voiture a tourné comme une horloge. Ce qui explique d’ailleurs en partie, son bon classement à l’arrivée. Arnold ROBIN, un des pilotes de la 275 – par ailleurs classée en 12ème position au classement général – expliquait (on ne compte plus le nombre de ses participations aux 25 heures de Spa) que lors des essais, il passait le virage de la Source en 2ème, alors qu’en course, il passait en 3ème pour ménager la mécanique. « De la sorte, expliquait Arnold, tu utilises moins la boite de vitesses, et c’est un avantage en terme de fiabilité ». Ce conseil, les pilotes (tous ou presque) de la 160 le mirent en pratique tout au long de la course, et quelques autres astuces, qui ont probablement permis de ménager la voiture.

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Pascal ROUX en attente de relais dans la nuit – 25 heures de Spa 2016

Lors du dernier relais avant l’arrivée de la course, seul un élément de carrosserie – l’aileron- s’est détaché, obligeant Pascal ROUX à stopper aux stands – à la demande de la Direction de course – pour une réparation de fortune, à 15 minutes de la fin de la course. Sans cet arrêt, la 160 put finir à une place encore plus favorable. Sans cet incident, et la « tétanisation » de Pascal ROUX qui pour son dernier relais roulait à…12 » de ses temps de référence alignés tout au long du weekend. « Je n’aurais pas du faire le dernier relais, précisait Pascal, je n’arrivais pas à me concentrer, et j’avais peur de sortir la voiture. Cela aurait fait tache auprès de mes petits camarades et après 25 heures de course sans problème ».

Certes, un relais manqué, mais une bien belle course quand même, avec un résultat que chaque pilote de la 160 a apprécié à sa juste valeur, d’autant plus qu’en finissant à la 38ème place de la course, la 160 se classe 11ème « française ».

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La 160 en route vers la 38me place du classement général – 25 heures de Spa 2016

On peut affirmer sans grand risque de se tromper que tous les pilotes engagés dans cette 19ème édition des 25 heures de Spa, attendent la 20ème avec impatience.

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« JP », responsable de la 160, l’artisan de la performance en course – 25 heures de Spa 2016

Article : FC

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25 heures de Spa 2016 : A mi course, les 6 voitures du team Zosh toujours en course

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6 voitures au départ de cette édition 2016 des 25 heures de Spa, et 6 voitures encre en course après 13 heures de course.

Dans l’ordre, la 275 occupe la 11ème place du classement général, la 71 pointe en 51ème position, le 160 en 55ème, la 29 en 62ème position et la 82 se trouve en 122ème position. Il faut dire que cette dernière a connu un accident dans la ligne droite après le raidillon, dans la nuit, qui l’a immobilisé plus de 2 heures à son stand.

A suivre !

Article : FC

Photos : FC

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